C'est un sujet d'invention que j'ai fait en Francais ce jour même c'est une fable inspiré sur le loup et l'agneau. J'ai seulement du rajouter chut et atchoum :p Je vous laisse lire.
Un jour d'été, un petit agneau prénommé Henri chantonnait "promennons-nous dans les bois pdt que le loup n'y est pas" se désalterait au bord d'un ruisseau. Quand soudain un loup apparu il était sale, ses poils n'avaient pas été brossé depuis au moins un millénaire. Henri devina de suite que Charles (le petit agneau avait décidé de le surnommer ainsi.) n'avait sans doute pas pris son p'tit déj. L'agneau de demanda aussi si la chanson douce et mélodieuse qu'il avait chanté n'avait pas par hazar attiré le loup ... Henri fut tiré de ses interrogations par l'énorme voix de Charles qui en plus sentait mauvais de la bouche. Le loup enragé dit :
- Ce ruisseau est mon territoire. Qui t'as permis de polluer mon eau ? Tu seras puni de cette bêtise !
- Monsieur le loup, répondit d'une voix posée l'agneau, ne vous mettez pas en colère, vous allez abimer votre voix grave. Mais j'avais fort soif alors je me suis permis de boire en ces lieux, mais vu que je vous dérange je m'en vais de ce pas 2 kilomètres plus bas, comme ça je ne pourrai plus vous déranger.
- C'est pareil ! reprit le loup en montrant ces dents.
(Henri crut mourir à cause de cette terrible odeur qui sortait de cette bouche répugnante.)
- Et en plus tu recommences, je t'avais pourtant prévenu, l'année dernière, cria le loup
Un bruit sourd de fit entendre : atchoum. Le petit agneau avait cette affreuse alergie qui recommencait elle tombait pas vraiment à pic. Charles reniffla un coup et reprit son discours sans de décourager.
- Excusez- moi pour cet atchoumement ... Euh ... s'interrogea Henri, Comment ? Je n'étais pas né ... Il y a un an j'allaitais encore le lait de ma maman !
- Chut !!!! Silence !! Si ce n'est pas toi alors c'est ton frère !!!
- Je n'en ai pas Ô Charles, repondit l'agneau sans paniquer.
- Alors c'est quelqu'un de ta famille ! Il faut que je me venge !! dit le loup d'une voix machiavélique
Sur ces paroles le loup emporta le petit agneau au fin fond de la fôret et le dévora.
Depuis toujours les petits ont enduré la betise des grands.